Sarah (elle/her) étudie les sciences de la santé et la psychologie avant d’entreprendre ses études en droit à l’Université de l’Ottawa au sein du Programme de droit canadien (2020-2023). Une de ses meilleures expériences lors de ses études en droit est son stage à la Clinique de droits à l’égalité. C’est grâce à cette expérience que Sarah acquière plusieurs compétences cruciales de juriste, mais surtout en tant que future juriste en droits de la personne. C’est d’ailleurs en travaillant avec d’autres stagiaires de la Clinique que Sarah fonde la Société de justice sociale, une association étudiante à la Faculté de droit, section common law de l’Université d’Ottawa dédiée à la promotion de la justice sociale et l’avancement de causes progressives. En plus, d’être mentore à nombreux étudiant(e)s, Sarah s’implique auprès de sa communauté en faisant du bénévolat auprès de plusieurs organisations dont l’Association nationale Femmes et Droit (ANFD). Sarah espère œuvrer dans le domaine des droits de la personne et droit du travail.
Sarah (her/elle) studied health sciences and psychology before starting law school at the University of Ottawa in the Programme de droit canadien (2020-2023). One of her best experiences during law school was interning at the Equality Law Clinic. It was through this experience that Sarah learned many crucial skills as a future lawyer, but especially as an aspiring human rights lawyer. It was while working with other interns at the Clinic that Sarah founded the Social Justice Society, a student association at the University of Ottawa's Faculty of Law, Common Law Section, dedicated to promoting social justice and advancing progressive causes. In addition to mentoring many students, Sarah is involved in her community by volunteering with several organizations including the National Association of Women and the Law (NAWL). Sarah hopes to work in human rights and labour law.
Clémence (iel/elle) complète présentement sa dernière année du programme combiné de science politique et juris doctor. La Clinique de droits à l’égalité fût la première de plusieurs expériences communautaires juridiques qui ont confirmé son désir de poursuivre une carrière juridique axée sur l’égalité et la justice sociale. En particulier, Clémence s’intéresse au développement d’approches au droit de la justice sociale qui sont durables et orientées vers la communauté, se préoccupant ainsi du double tranchant d’une éthique de travail et d’un service à la clientèle tous deux adaptés aux traumatismes. À la fois son profil en droit du travail auprès de syndicats, ainsi que sa participation à plusieurs projets communautaires, informent cette perspective. Partisane de la plume, Clémence aime réunir ses intérêts juridiques à sa passion pour la théorie queer et espère faire couler de l’encre à ce sujet au fil de sa carrière. Cette année, vous pouvez aussi rejoindre Clémence dans son rôle avec OUTLaw, ou tout simplement lui écrire au cthab050@uottawa.ca.
Clémence (they/them) is currently completing their final year of the combined political science and juris doctor program. The Equality Law Clinic was the first of several legal community experiences that confirmed their desire to pursue a legal career focussed on equality and social justice. In particular, Clémence is interested in developing sustainable, community-oriented approaches to social justice law, with a concern for both trauma-informed work ethic and client service. Both their union-side labour law profile and continuous involvement with grassroots projects inform this perspective. Having always loved writing, Clémence enjoys combining their legal interest with their passion for queer theory and hopes to spill more ink on the topic throughout their career. This year, you can also find Clémence in their role with OUTLaw, or simply email them at cthab050@uottawa.ca
Iulia est diplômée de la Section de droit civil de l’Université d’Ottawa d’où elle a obtenu sa licence en droit en tant que boursière Loran Dobson 2019. Elle a reçu la Médaille d’or de l’Université ainsi que la Plaque de la faculté de droit pour la plus haute moyenne dans l’ensemble du programme de licence en droit civil. Iulia effectue présentement son Juris Doctor au Programme national de la Section de common law. Avant d’entamer des études à l’Université d’Ottawa, Iulia a obtenu un diplôme d’études collégiales en sciences humaines, profil exploration internationale au Collège Lionel-Groulx. Elle a notamment participé à plusieurs simulations des Nations Unies et a créé un groupe d’Amnistie internationale à son cégep.
Pendant ses études en droit, Iulia a travaillé à temps partiel comme attachée politique pour un ministre du gouvernement fédéral. Curieuse de découvrir différents domaines du droit, elle a effectué des assistanats de recherche pour plusieurs professeurs notamment en droit autochtone, en droit municipal et en droits et libertés. Iulia a obtenu une bourse de recherche octroyée par la Chaire de recherche du Canada sur la diversité juridique et les peuples autochtones qui lui a permis de se pencher sur l’agentivité des peuples autochtones en matière de protection environnementale. Ayant à cœur l’enjeu d’accès à la justice, Iulia s’est impliquée au sein du Centre de justice de proximité de l’Outaouais et auprès de la Clinique de droit notarial de l’Université d’Ottawa où elle a pu fournir de l’information juridique à une population vulnérable. Elle a été stagiaire à la Cour supérieure du Québec auprès des Honorables juges Jean Faullem et Suzanne Tessier, expérience ayant grandement allumé son intérêt pour le litige. Iulia entreprendra son stage du barreau au cabinet McCarthy Tétrault en 2024.
Passionnée par les arts de la scène, Iulia adore aller voir des spectacles et assister à des festivals de tout genre. Elle aime aussi la course, les randonnées pédestres et la cuisine.
Béatrice a obtenu sa licence en droit civil à l’Université d’Ottawa en 2022 avec mention summa cum laude et y complète son diplôme Juris Doctor en 2023. Avant d’entamer ses études en droit, Béatrice a réalisé un double-DEC en piano classique et sciences humaines au Cégep de St-Laurent. Engagée, elle a siégé sur des comités jeunesse de plusieurs organisations comme la Société Canadienne du Cancer, Environnement Jeunesse, la Caisse Desjardins et le Théâtre D’Aujourd’hui. Béatrice a également été l’hôte d’un podcast mettant en valeur le leadership des jeunes et est la créatrice de la campagne de sensibilisation contre la culture du viol #Finis donc pas ta phrase. Ses implications lui ont valu de recevoir la prestigieuse bourse Loran McCall MacBain ainsi que la médaille du Lieutenant-Gouverneur pour la jeunesse en 2019.
Depuis le début de ses études en droit, Béatrice a orienté ses recherches en droit de la technologie. Comme assistante de recherche pour la Chaire en Intelligence Artificielle responsable à l’échelle globale, elle réalise des recherches sur l’utilisation des caméras corporelles par les services de police au Canada. De plus, à titre de recherchiste pour l’Association canadienne des libertés civiles (CCLA), elle a co-signée en 2022 un rapport au Commissariat de la vie privée intitulé Virtual Health Care in Canada : Digital Trails, De-identified Data and Privacy Implications. Béatrice a également assisté l’Honorable Christine Auger de la Cour du Québec dans ses travaux, et a participé à la simulation en droit autochtone Kawaskimhon en 2022. Elle complètera son stage du barreau en 2024 chez McCarthy Tétrault LLP.
Vanelle est une étudiante de deuxième année dans le programme de common law en français au sein de la Faculté de droit de l’Université d’Ottawa. Elle porte un très grand intérêt pour la défense des droits de la personne en particulier pour ceux des minorités visibles et des personnes marginalisées.
Vanelle a travaillé pour des organisations non gouvernementales et a vécu une expérience qui lui a démontré les besoins fondamentaux des personnes dans le monde et ainsi développer en elle un esprit de justice sociale. Voulant continuer sur cette lancée, elle s’est engagée auprès du Club de justice sociale de l’université d’Ottawa où elle occupe le poste de vice-présidente des revendications. À travers cette implication, elle participe à la promotion et la valorisation de la justice sociale dans la communauté étudiante de l’Université d’Ottawa et également dans le monde.
Avant d’entreprendre ses études à l’Université d’Ottawa, Vanelle a obtenu un baccalauréat en Droit et justice à l’université Laurentienne de Sudbury. Étant d’origine Africaine, s’engager auprès de sa communauté est une priorité. De ce fait, durant son parcours à Laurentienne elle a participé à l’organisation de nombreux évènements, notamment ceux qui avaient pour objectif de valoriser les différentes cultures africaines et de créer une communauté noire unie et solidaire dans la ville Sudbury. Elle a également assisté les membres de l’Association Africaine et Caribéenne de l’Université Laurentienne (LUACSA) à faciliter l’intégration des étudiants internationaux durant tout son cursus dans cette université.
Mis à part son amour prononcé pour le droit, Vanelle est également passionnée par la danse, le sport mais surtout par la cuisine, une activité à travers laquelle elle va à la découverte de nouvelles cultures et ainsi voyage dans le monde.
Andriana is a second year student in the French common law program at the University of Ottawa Faculty of Law with a keen interest in social justice. She is particularly interested in women’s rights, advocacy for persons with disabilities, refugee law, labour side employment law, and international human rights. The summer after her first year of law school, she worked at an immigration firm where she became increasingly fascinated by how immigration programs can improve the lives of immigrants and migrants by working on applications to advance their working rights in Canada.
Andriana is a strong leader in her community and thrives in group collaboration. This is demonstrated through various volunteer groups she is involved with. At the University of Ottawa, she is the current Vice President of the Social Justice Society | Société de
justice sociale (SJS) where she works alongside the board of directors to invent creative events and fact sheets to promote social justice and progressive causes through advocacy and legal
education.
Andriana is a proud Ukrainian Canadian and it is important for her to stay active in the Ukrainian diaspora in Canada. She is the Co-President of the Uottawa Ukrainian Students’ Club this year and a student representative of the Ukrainian Canadian Bar Association. She helps facilitate conferences, campaigns, tours, and protests for members and non-members in order to connect them closer to the history and culture of Ukraine, while also educating them about politics and pressing issues in the Ukrainian community, especially since the war in Ukraine began.
Lastly, Andriana’s dedication to human rights extends to the international scale. Over the past two years, she has been working alongside a small team of students and lawyers to create their own non-profit organization by the name of The Centre For Eastern European Democracy. She serves as the Editor-In-Chief of the blog which strives to promote Western-European style liberal democracy in Eastern Europe.
Andriana est une étudiante de deuxième année du programme de common law en français à la Faculté de droit de l'Université d'Ottawa et s'intéresse vivement à la justice sociale. Elle s'intéresse particulièrement aux droits des femmes, à la défense des personnes handicapées, au droit des réfugiés, au droit du travail et aux droits internationaux de la personne. L'été suivant sa première année de droit, elle a travaillé dans un cabinet d'immigration où elle a été de plus en plus fascinée par la façon dont les programmes d'immigration peuvent améliorer la vie des immigrants et des migrants en travaillant sur des demandes pour faire avancer leurs droits de travail au Canada.
Andriana est une forte leader dans sa communauté et prospère dans la collaboration de groupe. Ces qualités se manifestent dans les divers groupements bénévoles auxquels elle participe. À l’Université d’Ottawa, elle est actuellement vice-présidente de la Société de justice sociale (SJS) où elle travaille avecn les autres membres pour inventer des événements créatifs et des fiches d'information afin de promouvoir la justice sociale et les causes progressistes par le biais du plaidoyer et de l'éducation juridique.
Andriana est une fière Ukrainienne canadienne et il est important pour elle de rester active au sein de la diaspora ukrainienne au Canada. Cette année, elle est coprésidente du Club des étudiants ukrainiens de l'Université d'Ottawa et représentante étudiante de l'Association du Barreau ukrainien canadien. Elle aide à faciliter les conférences, les campagnes, les visites et les manifestations pour les membres et les non-membres afin de les rapprocher de l'histoire et de la culture de l'Ukraine, tout en les informant sur la politique et les questions urgentes dans la communauté ukrainienne, surtout depuis le début de la guerre en Ukraine.
Enfin son dévouement aux droits de la personne s'étend à l'échelle internationale. Au cours des deux dernières années, elle a travaillé avec une petite équipe d'étudiants et d'avocats pour créer leur propre organisation à but non lucratif, le Centre for Eastern European Democracy. Elle est la rédactrice en chef du blog qui s'efforce de promouvoir la démocratie libérale en Europe de l'Est.
Anne (elle/her) étudie l’histoire et la science politique avant d’obtenir son diplôme en droit de la Faculté de droit de l’Université d’Ottawa (Programme de common law français) en 2007. Anne obtient une maîtrise en droits internationaux de la personne de l’Université d’Oxford en 2016 où elle étudie grâce au généreux soutien de la Fondation Alma & Baxter Ricard. Sa recherche et ses publications portent sur les droits de la personne et les litiges d’intérêt public. Anne est admise au Barreau de l’Ontario en 2008 et pratique en droits de la personne dans des cabinets privés ainsi qu’une clinique juridique communautaire. Elle fait valoir les droits de ses clients devant plusieurs tribunaux administratifs, des tribunaux de toutes les instances du Canada, dont la Cour suprême du Canada, et des organes conventionnels internationaux et régionaux en droits de la personne. Elle est une des avocates qui représente bénévolement la Société de soutien à l’enfance et à la famille des Premières Nations du Canada dans sa plainte de droits de la personne menant à une victoire historique en 2016 qui affirme le droit à l’égalité de plus de 165 000 enfants autochtones. En tant que directrice du Programme de pratique du droit à l’Université d’Ottawa (2014-2018), elle participe à la création et à la mise en œuvre d’un programme d’apprentissage expérientiel innovateur permettant aux diplômés en droit d’acquérir des compétences pratiques, de s’impliquer au sein de leur collectivité et de promouvoir l’accès à la justice en français. Anne s’implique activement dans sa communauté. Elle est actuellement associée à l’Institut Broadbent, et membre du comité consultatif sur les services en français de l'Aide juridique Ontario. Anne est membre de la Société honorifique de common law de l’Université d’Ottawa et récipiendaire du Prix du président de l’Association du Barreau de l’Ontario, de la médaille commémorative du 150e du Sénat du Canada et de l'Ordre du mérite de l'Association de juristes d'expression française de l'Ontario.
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